Cette mise à jour du protocole vise à diminuer les risques de contamination au coronavirus. En suivant les conseils de l'OMS (Organisation mondiale de la sante), les règles adoptées formulent des limitations pour les coureurs, l'encadrement, les organisateurs et le public.
L'UCI utilise un certain nombre de critères pour déterminer dans quel groupe de risque une course doit être placée, basés entre autres sur la situation actuelle dans le pays. Les courses avec un risque trop élevé seront normalement annulées. L'UCI affirme que les mesures sanitaires décidées par le pays seront toujours prioritaires.
Les organisateurs de course doivent désigner un coordinateur Covid-19 chargé d'informer les équipes de la situation. Des exigences concernent aussi les hôtels, l'hygiène et la manipulation du matériel. Tous les coureurs et l'encadrement doivent être testés quelques jours avant la course, tandis que les médecins d'équipe doivent effectuer un bilan de santé quotidien et prendre des mesures en cas de symptômes suspects. Lors des longues courses par étapes, des tests seront effectués durant les jours de repos.
En cas de test positif durant une course, un groupe composé sur place avec des représentants des équipes, des coureurs, de l'organisation, de l'UCI, des médecins d'équipe et du médecin Covid-19 de la course informeront l'UCI, qui décidera ce qui doit être fait.
D'autres mesures sont les restriction du nombre de coureurs honorés en même temps, l'obligation du port du masque, la limitation du nombre de spectateurs au départ et à l'arrivée, tandis que les contrôles antidopage seront effectués sous de strictes procédures d'hygiène.
Le 1er août, les Strade Bianche sont la première course WorldTour de "l'après-corona".
L'article de base peut être lu ici ou en lisant la Newsletter de juillet 2020
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