samedi 31 décembre 2011
mercredi 28 décembre 2011
Collector... plus que quelques jours
À l’occasion des 220 ans des collections du CNAP, ("Collector" " = celui qui amasse") constitue une exposition manifeste et pluridisciplinaire.
Largement inspirée des évolutions sociales, politiques, économiques et artistiques depuis la fin des années 1960, "Collector" invite à une réflexion sur les systèmes de représentation, entre reproductibilité de l’image et de l’oeuvre, image médiatique et image de soi. Panorama des dernières années de la création contemporaine, l’exposition "Collector" est construite suivant des jeux de va-et-vient entre le présent et le passé permettant de suivre les filiations artistiques et la vivacité des réflexions qui y sont abordées.
Près de 150 oeuvres de 86 artistes sont ainsi proposées pour la première fois dans une lecture décloisonnée, mêlant arts plastiques, photographie, design et vidéo. L’exposition porte une attention particulière à l’accès de tous les publics à l’art contemporain, en lui donnant des clés de compréhension pour aborder les oeuvres d’aujourd’hui. Dans ce cadre, un vaste programme de médiation à destination de tous est mis en oeuvre. .
lundi 26 décembre 2011
CC à Zolder : Kévin Pauwels l'emporte
Sven Nys a pris le meilleur départ sur la piste du Circuit de Zolder imprimant un tempo très élevé, la sélection s'opérant par l'arrière. Zdenek Stybar prenait le relais et quelques mètres d'avance à l'entame du second tour, avant de chuter sans gravité.
Nys, détaché avec Pauwels, a vu revenir Stybar, Lars Boom et Bart Wellens. Dans le quatrième tour, suite à une petite erreur de Nys, Pauwels accélère, mais Nys bouchele trou. L'allure étant trop élevée, Wellens et Boom lâchent prise. Plus loin, Niels Albert et Bart Aernouts, n'ont jamais été dans le coup.
Zdenek Stybar, Kevin Pauwels et Sven Nys s'isolent donc en tête de la course. Le duo Nys-Pauwels ne lâche pas la roue du champion du monde et Zolder pouvait se préparer à assister à un sprint à trois... ou plutôt à deux puisque le leader de la Coupe du monde Sven Nys chuteà l'entrée de la dernière ligne droite, rendue glissante par un mélange de sable et de terre.
Impressionnant, Stybar lance le sprint, mais Pauwels le déborde. Nys compléte le podium. Kevin Pauwels reprend ainsi la tête du classement général de la Coupe du monde avec 440 points, soit dix de plus que Nys.
samedi 24 décembre 2011
BELGIAN CYCLING YOUTH EVENING
Les photos sont de Marc Van Hecke.
vendredi 16 décembre 2011
Le nouveau Ministre Di Antonio s'exprime ...
"Le dossier de Louvain-la-Neuve me semble meilleur ne fusse que par sa localisation géographique dans l'état actuel de ma connaissance du dossier, cela me paraît cohérent d'être à Louvain-la-Neuve", a-t-il affirmé.
Tout en soulignant que ce dossier ne "doit pas traîner", Carlo Di Antonio a expliqué que sa réalisation pourrait être retardée. "On ne doit pas reporter cela très loin", a-t-il déclaré.
jeudi 15 décembre 2011
mercredi 14 décembre 2011
Les cyclistes ont été flashés par un radar situé à Hillion, dans les Côtes d’Armor
Soudain, trois éclairs, dans notre dos…
« Monsieur l’agent du centre automatisé de traitement des infractions, je vous imagine perplexe devant les trois photos prises, dimanche matin, à Hillion (Côtes-d’Armor). Image inhabituelle, je pense : une vingtaine de cyclistes, le nez dans le guidon, flashés dans une descente limitée à
C’était une belle matinée. L’un des meilleurs coureurs bretons emmenait notre joyeuse troupe sur les routes autour de Saint-Brieuc. Au retour, nous foncions vent dans le dos, accroché à la roue de cette jeunesse triomphante.
Quand soudain, trois éclairs, dans notre dos. La première photo, c’est notre leader, casque vert. La deuxième, un chauffeur de bus, un chirurgien et moi, retourné, l’air ébahi. La troisième, nos glorieux anciens qui, aussi loin que remontent leurs souvenirs vélocipédiques, ne s’étaient jamais fait pincer en excès de vitesse.
« Bref, votre radar a Dysfonctionné ! »
Un automobiliste aurait paniqué. Mais nous, on a préféré en rire. On s’est rappelé le buzz sur Internet de Capman, ce justicier cycliste, déguisé comme Superman, filmé passant à plus de
Alors voilà. Si je me dénonce, c’est pour plaider la cause des copains. Parce que nous, Monsieur, on n’était certainement pas en excès de vitesse. Et à l’instant dit, aucune voiture ne nous a doublés, déclenchant la machine à verbaliser. Bref, votre radar a dysfonctionné… Et on a beau se dire que le Code de la route ne sanctionne pas les excès de vitesse des engins non motorisés, on ne voudrait pas s’attirer les foudres de la maréchaussée.
Ah oui, j’avais oublié de vous dire : ce dimanche matin, comme pour toutes nos virées, notre petite équipe s’était donné rendez-vous devant le commissariat ! »
Frédéric BARILLÉ. (journal du Sud-Ouest)lundi 12 décembre 2011
Il n'y a pas d'âge....
Roland Rolleau, cycliste amateur de 67 ans, titulaire de divers titres mondiaux chez les vétérans, a introduit un recours au Conseil d'Etat français, contre une suspension de 4 ans pour dopage, son contrôle positif étant dû à une prise de médicaments. En effet, contrôlé positif le 3 octobre 2010 lors du Championnat de Midi-Pyrénées de contre-la-montre, ce retraité habitant un petit village du Gers, ne comprend pas cette mesure, car, dit-il, il ne cherche pas à améliorer ses performances. "Je n'ai jamais pris que mes médicaments, je comprends pas que les instances du cyclisme ne le comprennent pas", souligne-t-il.
Il a, en effet, négligé de demander à la Fédération française de cyclisme (FFC) des autorisations d'usage à des fins thérapeutiques, afin de prendre ses médicaments dans un cadre légal (AUT). Un traitement pour un problème de narcolepsie (trouble neurologique du sommeil) et de cataplexie (dérèglement musculaire) serait à l'origine du contrôle positif.
Amateur de 17 à 37 ans, il a repris la compétition en 2000, à l'âge de 57 ans. Condamné le 20 janvier 2011 à 4 ans de suspension, sa peine a été confirmée en appel. "J'ai subi des moments douloureux et on veut m'enlever ma passion, le vélo, c'est ce qui m'a permis de ressusciter", explique ce garagiste à la retraite qui, en 2000, a trouvé son salut dans ce sport après la mort de sa femme Félicie, de son frère et de son père.
Théoriquement, le vétéran gersois pourra reprendre la compétition à compter du 7 février 2015, selon un communiqué du 15 septembre de l'Agence française de lutte contre le dopage, sur le site internet de la FFC. Mais il aura à cette date 70 ans...
vendredi 9 décembre 2011
COIB : colloque sur les abus sexuels dans le sport
Article complet à lire sur l'Avenir du samedi 03 décembre 2011
LA FORCE MOTRICE DU PILOTE : cherchez l'auteur...
ROULER COUCHÉ... ET COUVERT
Sous nos latitudes, il n'est pas rare de rentrer trempé d'un trajet à vélo. C'est ici que le vélomobile ou vélocar fait son apparition. L'engin ressemble à s'y méprendre à une oeuvre de Panamarenko: deux roues, un cadre de vélo couché et une cabine dont la forme aérodynamique rappelle celle d'une goutte. Pour voyager au chaud et au sec. Son inventeur? Charles Mochet, encore lui! Au début du 20e siècle, Mochet fabriqua au Maroc une sorte de voiture Pierrafeu: une voiture à pédales. Le modèle existe toujours, mais uniquement dans sa version miniature pour enfants. Mochet plaçait de grands espoirs dans sa version à deux roues, le vélomobile qui, à l'époque déjà, arborait un style étonnamment moderne. Les versions actuelles ne ressemblent pas à des vélos et elles donnent du fil à retordre au législateur. Rapides, elles ne peuvent pas rester sur la piste cyclable et négocient parfois mal les virages serrés. (Pour en savoir plus sur Mochet: http://www.velorizontal.com! hommage_mochet.htm)
VÉLOS ET MOTEURS
Les vélos pourvus d'un petit moteur auxiliaire sont pratiques pour les cyclistes qui ont besoin d'un petit coup de pouce, pour ceux qui préfèrent profiter du paysage et pour les habitants des régions dont le paysage rappelle davantage Liège-Bastogne-Liège que Gand-Wevelgem. Ici encore, ces vélos ne sont pas nouveaux. Si vous avez assisté à une course sur piste, vous avez certainement déjà aperçu un derny, ce vélomoteur dont la pétarade et les gaz d'échappement évoquent des temps anciens. Les moteurs des vélos modernes sont, quant à eux, si petits et silencieux qu'ils passent inaperçus, à l'inverse de leur mythique prédécesseur, le solex. Reste à savoir si l'interdiction de l'Union Cycliste Internationale aura une influence sur l'avenir de ces engins. Les drôles de rumeurs qui accusaient Fabian Cancellara d'avoir eu recours à cette technologie pour remporter le Tour de Flandre et Paris-Roubaix semblaient faire une publicité inédite aux petits moteurs. Depuis, tous ceux qui courent plus vite deviennent suspects.
mercredi 7 décembre 2011
Quand ceci a-t'il été écrit ? et dans quelle revue ?
Voyez le cyclisme, un sport pratiqué surtout il y a quelques décennies en France, en Italie, en Belgique et aux Pays-Bas. Depuis quelques temps, des Australiens, Allemands, Kazakhs, Luxembourgeois, Biélorusses, Danois, Américains et d'autres nationalités font leur apparition à la tête du classement des grandes compétitions. Conséquence : les habitudes, les principes moraux et l'éthique qui régissent un tel monde fermé ne sont pas forcément adoptés par ces "nouveaux venus". Tous les cyclistes n'ont pas fait leurs classes et passé leur jeunesse dans les courses de villages des pays pionniers. Or depuis les années soixante, nous savons que les cyclistes recourent de temps en temps à des stratagèmes pour améliorer leurs prestations.
Le dopage était autrefois considéré comme de la ruse. C'était le temps héroïque où l'on racontait comment on gagnait une course grâce à un oeuf cru dans un verre de stout. Où l'on vantait les remèdes les plus divers - des biftecks épais au champagne - qui faisaient naître des forces étonnantes dans les mollets des Flandriens. Le vent a tourné en 1967 avec la mort du coureur britannique Tom Simpson, mais lentement. Très lentement. Dans le microcosme du cyclisme - autour duquel gravitent les directeurs d'équipe, soignants, journalistes et intermédiaires de toutes sortes - la pression morale et éthique n'était pas assez forte pour pousser à lutter contre le dopage, la tricherie. Plus les produits devenaient dangereux, plus la lutte se faisait sévère et plus les méthodes de dopage se raffinaient. Les soignants étaient remplacés par des professeurs d'université et la limite floue qui sépare les suppléments alimentaires des produits illicites s'élargissait de plus en plus.
Pendant des décennies, cette petite communauté s'est débattue avec son éthique. Les sponsors préféraient que leur réputation ne soit pas entachée mais ce sport étant le seul où les équipes sont désignées par le nom de leur bailleur de fonds, cité pendant des heures à la télévision, la règle voulait que ce que l'on ne voit pas ne nuit pas. Toutefois, la globalisation, une nouvelle génération de journalistes et des méthodes scientifiques permettant de déceler la tricherie ont inversé la tendance.
Alors qu'auparavant, la marge de tolérance était énorme, celle-ci a désormais non seulement totalement disparu mais les règles, lois et normes de comportement qui régissent le cyclisme sont d'une sévérité exceptionnelle. Des équipes sont suspendues, des coureurs exclus, radiés et remerciés sur la base de soupçons et de rumeurs. De grands noms et des vainqueurs du Tour doivent plier bagages parce qu'ils ont été cités dans une "affaire" d'une manière justifiée ou non. Des maillots jaunes ont été renvoyés dans leurs foyers sans la moindre preuve qu'ils avaient mal agi. Le seuil de tolérance devenu inexistant, les équipes veulent se montrer plus catholiques que le pape et des mesures draconiennes sont prises au moindre soupçon de tromperie.
Vive les chipies
On aimerait donc penser que notre société ne supporte plus les tricheurs. Nos normes exigent que l'on bannisse les substances interdites. Nous n'aimons pas (plus) ceux qui s'injectent ou avalent des produits améliorant ou modifiant leurs performances. Nous évoluons vers un monde pur, nos principes éthiques sont nettement plus stricts qu'il y a cinquante ans, lorsque les coureurs qui se dopaient étaient simplement plus malins que les autres.
Une conclusion pourtant fausse si l'on examine qui sont nos héros. Paris Hilton, enfant gâtée d'un richissime père. Sa seule occupation consiste à faire la fête, se saouler, diffuser à la sauvette de petits films pornos la mettant en scène et changer constamment de fiancé; ajoutons qu'elle est régulièrement aperçue dans les milieux de la drogue, qu'elle est bête et qu'elle conduit en état d'ivresse. La fascination avec laquelle la presse ouvre chaque jour tout grand ses colonnes à cet enfant prodige va totalement à l'encontre de la sévérité avec laquelle les cyclistes sont traités. Autre exemple de notre culture populaire, Kate Moss, top-model, catégorie de célébrités inventée par les médias de la mode. Kate Moss s'est mis ta planète entière à dos lorsqu'on a appris - ou eu la confirmation - qu'elle sniffait de la cocaïne. La chaîne de magasins H&M avait à peine rompu son contrat qu'aussitôt d'autres contrats (plus juteux) attendaient sa signature. Kate Moss est plus populaire (et plus chère) que jamais, malgré la réprobation que suscite son comportement.
L'éthique fait vendre
C'est à croire que nous avons du mal à maîtriser l'éthique. A un microcosme s'appliquent des règles diamétralement opposées à celles d'un autre. Contrairement aux prêtres, législateurs et hommes politiques, ce sont de plus en plus les médias qui jouent le rôle de sermonneurs, de gardiens de la morale. Kate Moss a été tournée en dérision par "The Daily Mirror", les scandales de dopage sont publiés par "L'Equipe" et s'inscrivent souvent dans une lutte économique opposant l'organisation du Tour à l'Union cycliste internationale pour des questions d'argent et de droits.
Les journalistes spécialisés de la presse musicale et people mangent tous les jours dans la main des maisons de disque, chaînes de télévision et chargés des relations publiques. Là aussi, donc, on suit l'éthique changeante du jour. Combien de stars à la fibre profondément éthique, chantant sur les scènes du monde entier contre la faim, la pauvreté et la dégradation de l'environnement, ne céderont pas un jour aux appâts du monde de la musique pop avec sa drogue, son alcool et ses filles?
L'éthique est devenue un argument de vente. Nous achetons des fonds de placenent éthiques, du chocolat éthique et des vêtements confectionnés selon des codes éthiques. Souvent, les entreprises entourent leurs économies d'un léger nuage d'éthique comme c'est le cas pour les sachets en plastique et les serviettes de bain.
mardi 6 décembre 2011
Priorité à la formation des jeunes
A la question de savoir quelles disciplines pourront accéder à ces aides, il répond : "Toutes les disciplines sportives sont susceptibles d'accéder à cette subvention".
Oui, tout le monde a bien lu, ce n'est pas Saint-Nicolas.
lundi 5 décembre 2011
News
Cadel Evans prévoit de faire encore au moins deux tours de France.
Patrick Gaudy termine deuxième en Elites/espoirs au cyclo-cross de Ludelange tandis que Remy Mertz arrive 4° chez les juniors, alors qu'il est encore débutant.
La commune de Neufchâteau crée des circuits balisés pour le VTT, au format GPS.
vendredi 2 décembre 2011
Pourquoi ce blog ?
Qu'est-ce donc qu'une pédale ?
Pour Wikipédia, "une pédale est un levier actionné par le pied humain, permettant de transmettre une force à un dispositif mécanique. Les pédales permettent également de libérer les mains qui peuvent alors contrôler une autre partie du dispositif mécanique."
Il y a donc des pédales sur les vélos et les pédalos, les voitures, les instruments de musique (orgue, piano, harpes, batteries, timbales, etc...), sur les machines à coudre non électriques, sur des meules, sur des appareils dont le mécanisme doit être animé parce que les mains sont occupées par ailleurs pour le travail.
Les pédales ont donc de multiples formes : plateau, palette sur l'axe qui peut être une simple tige, avec ou sans cale, etc. A vous de trouver les images correspondantes....