Adoptée par le Congrès de l'UCI, lors de sa réunion du 21 Septembre 2012 à Maastricht, Pays-Bas.
Considérant que : Le cas de l'ancien coureur Lance Armstrong, quelle que puisse être son issue, invite à réfléchir sur l'efficacité de la lutte contre le dopage, ce qui est confirmé par la mise en place par l'AMA d'un groupe de travail à cet effet;
L'UCI a toujours, comme on l'a déjà confirmé en 2002 dans l'affaire Festina de la Cour d'appel de Douai (France), utilisé tous les moyens disponibles et fait tous les efforts raisonnables pour lutter contre le dopage dans le sport;
L'UCI a investi dans la recherche d'une méthode de détection de l'EPO depuis les années nonante, a été la première fédération sportive à introduire un no-start, a statué sur la base du taux d'hématocrite (1997), d'introduire le test urinaire de l'EPO (2001) et d'introduire le test de la transfusion de sang homologue (2004);
L'UCI est la première fédération sportive à introduire le passeport sanguin athlète (2008), l'outil le plus efficace pour prévenir et détecter le dopage sanguin.
Ce programme d'essais de l'UCI qui a été menée de manière indépendante, objective et sans considération de toutes les personnes a trouvé de nombreux coureurs positifs, y compris à haut profil.
Le vaste programme antidopage de l'UCI exprime à la fois la conscience de l'UCI le problème du dopage et de sa ferme détermination à en finir avec lui.
Pourtant, divers scandales de dopage ont montré que les athlètes avec l'aide d'experts médicaux et d'autres ont réussi à échapper à la détection par le programme antidopage le plus efficace jamais mis en œuvre.
Malgré tous les efforts, il n'a pas été possible d'éviter les pratiques de dopage pour que la science et l'AMA ne pouvait pas fournir des méthodes de détection et qui ne peut être détecté par les méthodes policières qui sont en dehors de la portée d'une fédération internationale.
Il y a prise de conscience de ce qui s'est passé ou même des sanctions pour les violations qui ont été détectés depuis de nombreuses années par la suite ne permettant pas de défaire et de nettoyer ce qui doit être considérée comme une période sombre de l'histoire cycliste.
Il est inutile de continuer à réexaminer le passé de dopage alors indétectable et stigmatiser le sport des jeunes générations, maintenant que la situation s'est considérablement améliorée grâce à la poursuite des efforts de l'UCI.
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