Pour Paris-Nice, l'UCI a déclaré qu'elle allait se conformer à l'article 167 de son règlement antidopage et "solliciter la fédération nationale responsable de l'organisateur pour fournir les médecins et/ou infirmiers préleveurs, lesquels procéderont aux opérations de contrôle en lieu et place de l'AFLD".
mercredi 20 février 2013
Paris-Nice : pas question de se doper...
La
Fédération française de cyclisme (FFC) est sollicitée par l'UCI pour procéder aux contrôles de
Paris-Nice, du 3 au 10 mars. Il faut se rappeler le refus de l'Agence française de lutte
contre le dopage (AFLD) de prêter son concours à cette lutte.
Si la décision de mardi de l'AFLD, annoncée
vendredi dernier, a été qualifiée de "regrettable", l'UCI a ajouté qu'elle comptait
partager avec l'AFLD "les informations du passeport biologique et du système de
localisation (Adams) dans les limites du droit international sur le partage des
données et en conformité avec les règlements de l'Agence mondiale antidopage
(AMA)".
Pour Paris-Nice, l'UCI a déclaré qu'elle allait se conformer à l'article 167 de son règlement antidopage et "solliciter la fédération nationale responsable de l'organisateur pour fournir les médecins et/ou infirmiers préleveurs, lesquels procéderont aux opérations de contrôle en lieu et place de l'AFLD".
Pour Paris-Nice, l'UCI a déclaré qu'elle allait se conformer à l'article 167 de son règlement antidopage et "solliciter la fédération nationale responsable de l'organisateur pour fournir les médecins et/ou infirmiers préleveurs, lesquels procéderont aux opérations de contrôle en lieu et place de l'AFLD".
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