mercredi 4 janvier 2012

Encore le dopage.

Sept coureurs sud-américains ont fait l'objet de contrôles antidopage positifs et ont été suspendus provisoirement dans l'attente de leur audition par les instances disciplinaires.

Les Brésiliens Tiago Damasceno, Flavio Reblin, Wagner Alves ainsi que le Chilien Manuel Villalobos, ont été contrôlés lors de courses au Brésil (Tour de Rio, Tour de Sao Paulo). Ces décisions ont été prises suite à la réception des rapports en provenance du Laboratoire – accrédité par l’AMA – de Montréal, indiquant des résultats d’analyse anormaux (présence des métabolites du stanozolol) dans des échantillons d’urine prélevés sur ces coureurs lors de contrôles pendant le Tour de Rio et la Volta Ciclistica Do Sao Paulo, effectués le le 28 et le 29 juillet et le 17 et 20 octobre 2011 respectivement.

Elton Silva est également provisoirement suspendu, suite à la réception d’un rapport en provenance du Laboratoire – accrédité par l’AMA – de Montréal, indiquant des résultats d’analyse anormaux (présence de méphentermine et son métabolite ainsi que de phentermine) dans un échantillon d’urine prélevé sur ce coureur lors d’un contrôle pendant la Volta Ciclistica do Sao Paulo le 23 octobre 2011.

Le coureur péruvien Ronald Luza et le coureur bolivien Fernando Espindola sont provisoirement suspendus, suite à la réception des rapports en provenance du Laboratoire – accrédité par l’AMA – de Bogota, indiquant des résultats d’analyse anormaux (présence des métabolites de cocaïne et de 19-norandrostérone ainsi que de boldénone PC et métabolite respectivement) dans des échantillons d’urine prélevés sur ces athlètes lors de contrôles effectués pendant la Vuelta a Bolivia le 10 et le 12 novembre 2011 respectivement.

Les suspensions provisoires de ces coureurs restent en vigueur jusqu’à ce qu’une instance d’audition mise sur pied par leur Fédération nationale respective détermine si ceux-ci ci ont effectivement commis une infraction au Règlement Antidopage de l’UCI selon l’article 21 de ce dernier.

Les coureurs ont le droit de demander l’analyse de leur échantillon B et d’y assister.

Conformément au Code Mondial Antidopage et à son Règlement Antidopage, l’UCI ne peut fournir d’autres informations à ce stade.

Source : Service de Presse de l'UCI

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